Glass s’inspire de poèmes africains pour composer Ifé, et Beethoven fait part de ses sensations lors d’une promenade à la campagne. De la mythologie du Bénin, célébrée par la chanteuse Angélique Kidjo, à la nature bucolique représentée dans la symphonie « Pastorale », vivez un délicieux moment d’évasion!
Artistes
Orchestre symphonique de Montréal
Elena Schwarz, cheffe d’orchestre
Angélique Kidjo, chant
Philippe-Audrey Larrue-St-Jacques, présentateur
Œuvres
Ludwig van Beethoven, Symphonie no 6 en fa majeur, op. 68, « Pastorale » (39 min)
Philip Glass, Ifé, trois chants Yorùbá (20 min)
Concert sans entracte
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Angélique Kidjo
ChanteuseQuintuple lauréate d’un prix Grammy, Angélique Kidjo est aujourd’hui l’une des artistes les plus importantes sur la scène musicale internationale; une force créatrice comptant seize albums à son actif. Le Time Magazine l’a surnommée « la première diva africaine » et désignée comme l’une des personnes les plus influentes au monde en 2021. Elle a reçu le prix Crystal du Forum économique mondial de Davos, le prix Ambassadrice de la conscience d’Amnesty International, le Prix allemand de la durabilité, le prix Vilcek de musique et le prix Polar Music. En tant qu’artiste, sa voix saisissante, sa présence scénique et sa maîtrise de plusieurs langues et cultures lui ont valu le respect de ses pairs ainsi qu’une notoriété propulsée au-delà des frontières nationales. Angélique Kidjo a métissé les traditions ouest-africaines de son enfance béninoise avec des éléments du R&B américain, du funk et du jazz, sans oublier les influences européennes et latino-américaines.